AMANT DE ST JEAN (MON)
Je ne sais pourquoi j’allais danser
A St Jean aux musettes
Mais quand un gars m’a pris un baiser
J’ai frissonné, j’étais chipée
Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau de St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers
Sans plus réfléchir je lui donnai
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu’il mentait
Je le savais mais je l’aimais
Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau de St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers
Mais hélas à St Jean comme ailleurs
Un serment n’est qu’un leurre
J’étais folle de croire au bonheur
Et de vouloir garder son cœur
Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau des St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers
Il ne m’aime plus, c’est du passé, n’en parlons plus
1 – Una mattinà mi sono svegliato,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Una mattinà mi sono svegliato,
E ho trovato l’invasor.
2 – O partigiano portami via,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
O partigiano portami via,
Che mi sento di morire.
3 – E se io muoio da partigiano,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E se io muoio da partigiano,
Tu mi devi seppellir’.
4 – E seppellire lassù in montagna,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E seppellire lassù in montagna,
Sotto l’ombra di un bel fior.
5 – Tutte le genti che passeranno,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E le genti che passeranno,
Mi diranno «che bel fior».
6 – Questo è il fiore del partigiano,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Questo è il fiore del partigiano,
Morto per la libertà.
7 – Era rossa la sua bandiera,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Era rossa la sua bandiera,
C’era scritto libertà.
Era rossa la sua bandiera,
C’era scri_tto_ li_ber_tà____.
Je vous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l’humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C’est là qu’on s’est connu
Moi qui criais famine
Et toi qui posais nue
La bohème, la bohème
Ça voulait dire
On est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu’un jour sur deux.
Dans les cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d’y croire
Et quand quelques bistrots
Contre un bon repas chaud
Nous prenaient une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poële
En oubliant l’hiver
La bohème, la bohème
Ça voulait dire
Tu es jolie
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie.
Souvent il m’arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d’un sein
Du galbe d’une hanche
Et ce n’est qu’au matin
Qu’on s’asseyait enfin
Devant un café crème
Épuisés mais ravis
Fallait-il que l’on s’aime
Et qu’on aime la vie
La bohème, la bohème
Ça voulait dire
On a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l’air du temps.
Quand au hasard des jours
Je m’en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d’un escalier
Je cherche l’atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes
On était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout …
Intro
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Un je ne sais quoi qui me laisse con
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais autour de moi tout tourne si rond
Des balles doum doum aux roues des bagnoles
Au rythme tchouc tchouc du train des batignolles
Au murmure de la ville, au matin des nuits folles
Hou ! ! ! ! ! ! rien ne t’affole
Et j ‘aime encore mieux ça, oui je préfère ça
Oh j’aime encore mieux ça, car c’est vraiment toi
Et rien d’autre que toi, non rien d’autre que toi
Que toi, non rien d’autre que toi
come on baby !
Instrumental
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais dans tes pattes en rond, moi je fais ron-ron
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais autour de moi toi tu fais un rond
Et les balles doum doum aux roues des bagnoles
Et la vie des saints et leurs auréoles
Le murmure de la ville et de ses machines molles
Hou ! ! ! ! ! ! rien ne t’affole
Et j ‘aime en ore mieux ça, oui je prefere ça
Oui j’aime encore mieux ça, j’aime encore mieux ça
« j’adore ça ! »
Instrumental
An, ein ein ein, ouh ouh
Car ça ! …. c’est vraiment toi
Oui ça ! …. c’est vraiment toi
Ca (ça) ! c’est vraiment toi
non non non ça (ça) ! c’est vraiment toi
Ça se sent
ça se sent, ça se sent
ça se sent que c’est toi
ça se sent que c’est toi
ça se sent
ça se sent que c’est toi
ça se sent, ça se sent, ça se sent,
Et rien d’autre que toi, non rien d’autre que toi
Que toi non rien d’autre que toi
Que toi non rien d’autre que toi
I can give you a voice, bred with rhythm and soul
The heart of a Welsh boy who’s lost his home
Put it in harmony, let the words ring
Carry your thoughts in the song we sing
Je te donne mes notes, je te donne mes mots
Quand ta voix les emporte à ton propre tempo
Une épaule fragile et solide à la fois
Ce que j’imagine et ce que je crois
Je te donne toutes mes différences
Tous ces défauts qui sont autant de chance
On sera jamais des standards, des gens bien comme il faut
Je te donne ce que j’ai, ce que je vaux
I can give you the force of my ancestral pride
The will to go on when I’m hurt deep inside
Whatever the feeling, whatever the way
It helps me go on from day to day
Je te donne nos doutes et notre indicible espoir
Les questions que les routes ont laissées dans l’histoire
Nos filles sont brunes et l’on parle un peu fort
Et l’humour et l’amour sont nos trésors
Je te donne toutes mes différences
Tous ces défauts qui sont autant de chance
On sera jamais des standards, des gens bien comme il faut
Je te donne ce que j’ai, ce que je vaux
Instrumental
Donnez- moi une suite au Ritz, je n’en veux pas
Des bijoux de chez Chanel, je n’en veux pas
Donnez-moi une limousine, j’en ferais quoi ?
Pa pa la pa pa pa la
Offrez-moi du personnel, j’en ferais quoi ?
Un manoir à Neuchâtel, ce n’est pas pour moi
Offrez-moi la tour Eiffel, j’en ferais quoi ?
Pa pa la pa pa pa la
Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité
J’en ai marre de vos bonnes manières, c’est trop pour moi
Moi je mange avec les mains et je suis comme ça
Je parle fort et je suis franche, excusez-moi
Finie l’hypocrisie, moi je me casse de là
J’en ai marre des langues de bois, regardez-moi
De toute manière j’vous en veux pas et j’suis comme ça ! J’suis comme ça
Pa pa la pa pa pa la
Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité X2
Instrumental
Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité X2
Un jour j’irai a New York avec toi
Toutes les nuits déconner
Et voir aucun film en entier, ça va d’soi
Avoir la vie partagée, tailladée
Bercés par le ronron de l’air conditionné
Dormir dans un hôtel délaté
Traîner du côté gay et voir leurs corps se serrer
Voir leurs cœurs se vider et saigner
Oui, saigner
Un jour j’irai là-bas
Un jour chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi
Et tu m’emmèneras
Emmène-moi!
Un jour j’aurai New York au bout des doigts
On y jouera, tu verras
Dans les clubs il fait noir mais il ne fait pas froid
Il ne fait pas froid si t’y crois, et j’y crois
Les flaques de peinture sur les murs ont parfois
La couleur des sons que tu bois
Et puis c’est tell’ment grand que vite on oubliera
Que nulle part, c’est chez moi, chez toi
Chez nous, quoi
Un jour j’irai là-bas
Un jour Chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi
Et tu m’emmèneras (un jour)
Emmène-moi, emmène-moi, emmène-moi, emmène-moi
Toucher à ci et toucher à ça
Voir si le cœur de la ville bat en moi
Et tu m’emmèneras
Emmène-moi!
Intro
Petite Marie, je parle de toi
Parce qu’avec ta petite voix
Tes petites manies, tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses
Petite furie, je me bats pour toi
Pour que dans dix mille ans de ça
On se retrouve à l’abri, sous un ciel aussi joli
Que des milliers de roses
Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour
Petite Marie, je t’attends transi
Sous une tuile de ton toit
Le vent de la nuit froide me renvoie la ballade
Que j’avais écrite pour toi
Petite furie, tu dis que la vie
C’est une bague à chaque doigt
Au soleil de Floride, moi mes poches sont vides
Et mes yeux pleurent de froid
Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour
Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu ?
Je n’attends plus que toi pour partir…
Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu ?
Je n’attends plus que toi pour partir…
Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour
Intrumental
J’ai trop saigné sur les gibsons
J’ai trop rôdé dans les tobacco road
Y’a plus qu’les caiss’, qui me résonnent
Et quand j’me cass’, j’voyag’, toujours en fraude
Des champs d’ coton, dans ma mémoire
Trois not’s de blues c’est un peu d’amour noir
Quand j’suis trop court, quand j’suis trop tard
C’est un recours pour une autr’ histoire
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas
J’ai plus d’amour, j’ai pas le temps
J’ai plus d’humour, j’sais plus d’où vient le vent
J’ai plus qu’un clou, une étincelle
Des trucs en plomb qui me brisent les ailes
Un peu de swing, un peu du king
Pas mal de feeling et de décibels
C’est pas l’usine, c’est pas la mine
Mais ça suffit pour se faire la belle
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas
Bonn’ bonn’ bonn’ x3
Bonn’ bonn’ bonn’ x4
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas
Instrumental
Savoir sourire
À une inconnue qui passe
N’en garder aucune trace
Sinon celle du plaisir
Savoir aimer
Sans rien attendre en retour
Ni égard, ni grand amour
Pas même l’espoir d’être aimé
Mais savoir donner
Donner sans reprendre
Ne rien faire qu’apprendre
Apprendre à aimer
Aimer sans attendre
Et aimer à tout prendre
Apprendre à sourire
Rien que pour le geste
Sans vouloir le reste
Et apprendre à vivre
Et s’en aller
Instrumental
Savoir attendre
Goûter à ce plein bonheur
Qu’on vous donne comme par erreur
Tant on ne l’attendait plus
Se voir y croire
Pour tromper la peur du vide
Ancrée comme autant de rides
Qui ternissent les miroirs
Mais savoir donner
Donner sans reprendre
Ne rien faire qu’apprendre
Apprendre à aimer
Aimer sans attendre
Et aimer à tout prendre
Apprendre à sourire
Rien que pour le geste
Sans vouloir le reste
Et apprendre à vivre
Et s’en aller
Savoir souffrir
En silence, sans murmure
Ni défense ni armure
Souffrir à vouloir mourir
Et se relever
Comme on renaît de ses cendres
Avec tant d’amour à revendre
Qu’on tire un trait sur le passé
Mais savoir donner
Donner sans reprendre
Ne rien faire qu’apprendre
Apprendre à aimer
Aimer sans attendre
Et aimer à tout prendre
Apprendre à sourire
Rien que pour le geste
Sans vouloir le reste
Et apprendre à vivre
Et s’en aller
Apprendre à rêver
À rêver pour deux
Rien qu’en fermant les yeux
Et savoir donner
Donner sans rature
Ni demi-mesure
Apprendre à rester
Vouloir jusqu’au bout
Rester malgré tout
Apprendre à aimer, Et s’en aller
Et s’en aller… s’en aller…
Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l’ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeune et l’on croyait au ciel
Et puis sont venus les jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j’ai passé de nuits sans lune
À chercher la taverne dans mon cœur
Je m’imaginais chassant la brume Je croyais pouvoir remonter le temps Et je m’inventais des clairs de lune Où tous deux nous chantions comme avant
Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu’on pourra lire à travers
S.O.S. Écrit avec de l’air
Pour te dire que je me sens seul
Je dessine à l’encre vide
Un désert
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m’entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j’envoie
Difficile d’appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Étouffent un peu plus les cris d’amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m’entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j’envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l’eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d’étoile sur les rochers
Et j’ai ramassé les bouts de verre
J’ai recollé tous les morceaux
Tout était clair comme de l’eau
Contre le passé y a rien à faire
Il faudrait changer les héros
Dans un monde où le plus beau
Reste à faire
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m’entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j’envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l’eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d’étoile sur les rochers …
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien
Puisque l’avenir vous appartient
Puisqu’on ne contrôle pas votre destin
Que votre envol est pour demain
Comme tout ce qu’on a à vous offrir
Ne saurait toujours vous suffire
Dans cette liberté à venir
Puisqu’on ne sera pas toujours là Comme on le fut aux premiers pas
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien
Toute une vie s’offre devant vous
Tant de rêves à vivre jusqu’au bout
Sûrement tant de joies au rendez-vous
Libres de faire vos propres choix
De choisir quelle sera votre voie
Et où celle-ci vous emmènera
J’espère juste que vous prendrez l’temps De profiter de chaque instant
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien
Je ne sais pas quel monde on vous laissera
On fait de notre mieux, seulement pars fois
J’ose espérer que cela suffira
Pas à sauver votre insouciance
Mais à apaiser notre conscience
Pour le reste j’me dois de vous faire confiance
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien