Fête des couleurs 2025

Animé par Voix à tous les étages
Lionel Licini, Luc David, Christophe Machet
 
Paroles du karaoké

AMANT DE ST JEAN (MON)

Je ne sais pourquoi j’allais danser
A St Jean aux musettes
Mais quand un gars m’a pris un baiser
J’ai frissonné, j’étais chipée

Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau de St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers

Sans plus réfléchir je lui donnai
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu’il mentait
Je le savais mais je l’aimais 

Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau de St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers

Mais hélas à St Jean comme ailleurs
Un serment n’est qu’un leurre
J’étais folle de croire au bonheur
Et de vouloir garder son cœur

Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ?
Car on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus beau des St Jean
Je restais grisée sans volonté sous ses baisers
Il ne m’aime plus, c’est du passé, n’en parlons plus

1 – Una mattinà mi sono svegliato,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Una mattinà mi sono svegliato,
E ho trovato l’invasor.

2 – O partigiano portami via,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
O partigiano portami via,
Che mi sento di morire.

3 – E se io muoio da partigiano,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E se io muoio da partigiano,
Tu mi devi seppellir’.

4 – E seppellire lassù in montagna,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E seppellire lassù in montagna,
Sotto l’ombra di un bel fior.

5 – Tutte le genti che passeranno,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
E le genti che passeranno,
Mi diranno «che bel fior».

6 – Questo è il fiore del partigiano,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Questo è il fiore del partigiano,
Morto per la libertà.

7 – Era rossa la sua bandiera,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao,
Era rossa la sua bandiera,
C’era scritto libertà.

Era rossa la sua bandiera,
C’era scri_tto_ li_ber_tà____.

Je vous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l’humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C’est là qu’on s’est connu
Moi qui criais famine
Et toi qui posais nue

La bohème, la bohème
Ça voulait dire
On est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu’un jour sur deux.

Dans les cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d’y croire
Et quand quelques bistrots
Contre un bon repas chaud
Nous prenaient une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poële
En oubliant l’hiver

La bohème, la bohème
Ça voulait dire
Tu es jolie
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie.

Souvent il m’arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d’un sein
Du galbe d’une hanche
Et ce n’est qu’au matin
Qu’on s’asseyait enfin
Devant un café crème
Épuisés mais ravis
Fallait-il que l’on s’aime
Et qu’on aime la vie

La bohème, la bohème
Ça voulait dire
On a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l’air du temps.

Quand au hasard des jours
Je m’en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d’un escalier
Je cherche l’atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts

La bohème, la bohème
On était jeunes
On était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout …

Intro

Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Un je ne sais quoi qui me laisse con
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais autour de moi tout tourne si rond

Des balles doum doum aux roues des bagnoles
Au rythme tchouc tchouc du train des batignolles
Au murmure de la ville, au matin des nuits folles
Hou ! ! ! ! ! ! rien ne t’affole

Et j ‘aime encore mieux ça, oui je préfère ça
Oh j’aime encore mieux ça, car c’est vraiment toi

Et rien d’autre que toi, non rien d’autre que toi
Que toi, non rien d’autre que toi
come on baby !

Instrumental

Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais dans tes pattes en rond, moi je fais ron-ron
Quelque chose en toi ne tourne pas rond
Mais autour de moi toi tu fais un rond

Et les balles doum doum aux roues des bagnoles
Et la vie des saints et leurs auréoles
Le murmure de la ville et de ses machines molles
Hou ! ! ! ! ! ! rien ne t’affole

Et j ‘aime en ore mieux ça, oui je prefere ça

Oui j’aime encore mieux ça, j’aime encore mieux ça
« j’adore ça ! »

Instrumental
An, ein ein ein, ouh ouh

Car ça ! …. c’est vraiment toi
Oui ça ! …. c’est vraiment toi

Ca (ça) ! c’est vraiment toi
non non non ça (ça) ! c’est vraiment toi
Ça se sent

ça se sent, ça se sent

ça se sent que c’est toi
ça se sent que c’est toi
ça se sent
ça se sent que c’est toi
ça se sent, ça se sent, ça se sent,

Et rien d’autre que toi, non rien d’autre que toi
Que toi non rien d’autre que toi
Que toi non rien d’autre que toi

Solo voy con mi pena, sola va mi condenaCorrer es mi destino para burlar la leyPerdido en el corazón de la grande BabylonMe dicen « el clandestino » por no llevar papel
 
Pa una ciudad del norte yo me fui a trabajarMi vida la dejé entre Ceuta y GibraltarSoy una raya en el mar, fantasma en la ciudadMi vida va prohibida, dice la autoridad
 
Solo voy con mi pena, sola va mi condenaCorrer es mi destino por no llevar papelPerdido en el corazón de la grande BabylonMe dicen « el clandestino », yo soy el quiebra ley
 
Mano negra (clandestino)Peruano (clandestino)Africano (clandestino)Marihuana (ilegal)
 
Solo voy con mi pena, sola va mi condenaCorrer es mi destino para burlar la leyPerdido en el corazón de la grande BabylonMe dicen « el clandestino » por no llevar papel
 
Argelino (clandestino)
Nigeriano (clandestino)
Boliviano (clandestino)
Mano Negra (ilegal)
 

I can give you a voice, bred with rhythm and soulThe heart of a Welsh boy who’s lost his homePut it in harmony, let the words ringCarry your thoughts in the song we sing

Je te donne mes notes, je te donne mes motsQuand ta voix les emporte à ton propre tempoUne épaule fragile et solide à la foisCe que j’imagine et ce que je crois

Je te donne toutes mes différencesTous ces défauts qui sont autant de chanceOn sera jamais des standards, des gens bien comme il fautJe te donne ce que j’ai, ce que je vaux

I can give you the force of my ancestral prideThe will to go on when I’m hurt deep insideWhatever the feeling, whatever the wayIt helps me go on from day to day

Je te donne nos doutes et notre indicible espoirLes questions que les routes ont laissées dans l’histoireNos filles sont brunes et l’on parle un peu fortEt l’humour et l’amour sont nos trésors

Je te donne toutes mes différencesTous ces défauts qui sont autant de chanceOn sera jamais des standards, des gens bien comme il fautJe te donne ce que j’ai, ce que je vaux

Je te donne, donne, donne ce que je suis
I can give you my voice, bred with rhythm and soulJe te donne mes notes, je te donne ma voixThe songs that I love, and the stories I’ve toldCe que j’imagine et ce que je crois
 
I can make you feel good even when I’m downLes raisons qui me portent et ce stupide espoirMy force is the platform that you can climb onUne épaule fragile et forte à la fois
 
[Je te donneOuh je te donneTout ce que je vaux, ce que je suisMes dons, mes défautsMes plus belles chances, mes différences]  x4
 
Je te donne

Instrumental

Donnez- moi une suite au Ritz, je n’en veux pas
Des bijoux de chez Chanel, je n’en veux pas
Donnez-moi une limousine, j’en ferais quoi ?
Pa pa la pa pa pa la

Offrez-moi du personnel, j’en ferais quoi ?
Un manoir à Neuchâtel, ce n’est pas pour moi
Offrez-moi la tour Eiffel, j’en ferais quoi ?
Pa pa la pa pa pa la

Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité

J’en ai marre de vos bonnes manières, c’est trop pour moi
Moi je mange avec les mains et je suis comme ça
Je parle fort et je suis franche, excusez-moi

Finie l’hypocrisie, moi je me casse de là
J’en ai marre des langues de bois, regardez-moi
De toute manière j’vous en veux pas et j’suis comme ça !        J’suis comme ça

Pa pa la pa pa pa la

Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité    X2

Instrumental

Je veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur
Ce n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur
Moi j’veux crever la main sur le cœur
Allons ensemble découvrir ma liberté
Oubliez donc tous vos clichés
Bienvenue dans ma réalité    X2

Un jour j’irai a New York avec toi
Toutes les nuits déconner
Et voir aucun film en entier, ça va d’soi
Avoir la vie partagée, tailladée
Bercés par le ronron de l’air conditionné

Dormir dans un hôtel délaté
Traîner du côté gay et voir leurs corps se serrer
Voir leurs cœurs se vider et saigner
Oui, saigner

Un jour j’irai là-bas
Un jour chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi

Et tu m’emmèneras
Emmène-moi!

Un jour j’aurai New York au bout des doigts
On y jouera, tu verras
Dans les clubs il fait noir mais il ne fait pas froid
Il ne fait pas froid si t’y crois, et j’y crois
Les flaques de peinture sur les murs ont parfois

La couleur des sons que tu bois
Et puis c’est tell’ment grand que vite on oubliera
Que nulle part, c’est chez moi, chez toi
Chez nous, quoi

Un jour j’irai là-bas
Un jour Chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi
Et tu m’emmèneras (un jour)
Emmène-moi, emmène-moi, emmène-moi, emmène-moi

Toucher à ci et toucher à ça
Voir si le cœur de la ville bat en moi

Et tu m’emmèneras
Emmène-moi!

Intro
Petite Marie, je parle de toi
Parce qu’avec ta petite voix
Tes petites manies, tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses

Petite furie, je me bats pour toi
Pour que dans dix mille ans de ça
On se retrouve à l’abri, sous un ciel aussi joli
Que des milliers de roses

Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour
Petite Marie, je t’attends transi
Sous une tuile de ton toit
Le vent de la nuit froide me renvoie la ballade
Que j’avais écrite pour toi

Petite furie, tu dis que la vie
C’est une bague à chaque doigt
Au soleil de Floride, moi mes poches sont vides
Et mes yeux pleurent de froid

Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu ?
Je n’attends plus que toi pour partir…
Dans la pénombre de ta rue
Petite Marie, m’entends-tu ?
Je n’attends plus que toi pour partir…

Je viens du ciel et les étoiles entr’ elles
Ne parlent que de toi
D’un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Intrumental

J’ai trop saigné sur les gibsons
J’ai trop rôdé dans les tobacco road
Y’a plus qu’les caiss’, qui me résonnent
Et quand j’me cass’, j’voyag’, toujours en fraude

Des champs d’ coton, dans ma mémoire
Trois not’s de blues c’est un peu d’amour noir
Quand j’suis trop court, quand j’suis trop tard
C’est un recours pour une autr’ histoire

Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas

J’ai plus d’amour, j’ai pas le temps
J’ai plus d’humour, j’sais plus d’où vient le vent
J’ai plus qu’un clou, une étincelle
Des trucs en plomb qui me brisent les ailes

Un peu de swing, un peu du king
Pas mal de feeling et de décibels
C’est pas l’usine, c’est pas la mine
Mais ça suffit pour se faire la belle

Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas

Bonn’ bonn’ bonn’ x3

Bonn’ bonn’ bonn’ x4

Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle ne triche pas
Quand la musiqu’ est bonne
Quand la musique donne
Quand la musique sonn’, sonn’, sonn’
Quand elle guide mes pas

Instrumental

Savoir sourireÀ une inconnue qui passeN’en garder aucune traceSinon celle du plaisirSavoir aimerSans rien attendre en retourNi égard, ni grand amourPas même l’espoir d’être aimé

Mais savoir donnerDonner sans reprendreNe rien faire qu’apprendreApprendre à aimerAimer sans attendreEt aimer à tout prendreApprendre à sourireRien que pour le gesteSans vouloir le resteEt apprendre à vivreEt s’en aller

Instrumental

Savoir attendreGoûter à ce plein bonheurQu’on vous donne comme par erreurTant on ne l’attendait plusSe voir y croirePour tromper la peur du videAncrée comme autant de ridesQui ternissent les miroirs

Mais savoir donnerDonner sans reprendreNe rien faire qu’apprendreApprendre à aimerAimer sans attendreEt aimer à tout prendreApprendre à sourireRien que pour le gesteSans vouloir le resteEt apprendre à vivreEt s’en aller

Savoir souffrirEn silence, sans murmureNi défense ni armureSouffrir à vouloir mourirEt se releverComme on renaît de ses cendresAvec tant d’amour à revendreQu’on tire un trait sur le passé

Mais savoir donnerDonner sans reprendreNe rien faire qu’apprendreApprendre à aimerAimer sans attendreEt aimer à tout prendreApprendre à sourireRien que pour le gesteSans vouloir le resteEt apprendre à vivreEt s’en aller

Apprendre à rêverÀ rêver pour deuxRien qu’en fermant les yeuxEt savoir donnerDonner sans ratureNi demi-mesureApprendre à resterVouloir jusqu’au boutRester malgré toutApprendre à aimer, Et s’en aller                 

Et s’en aller…  s’en aller…                                                                                  

Dans une taverne du vieux LondresOù se retrouvaient des étrangersNos voix criblées de joie montaient de l’ombreEt nous écoutions nos cœurs chanter

C’était le temps des fleursOn ignorait la peurLes lendemains avaient un goût de mielTon bras prenait mon brasTa voix suivait ma voixOn était jeune et l’on croyait au ciel

Et puis sont venus les jours de brumeAvec des bruits étranges et des pleursCombien j’ai passé de nuits sans luneÀ chercher la taverne dans mon cœur

C’était le temps des fleursOn ignorait la peurLes lendemains avaient un goût de mielTon bras prenait mon brasTa voix suivait ma voixOn était jeune et l’on croyait au ciel
La-la-la …
 

Je m’imaginais chassant la brume                                                            Je croyais pouvoir remonter le temps                                                        Et je m’inventais des clairs de lune                                                          Où tous deux nous chantions comme avant

C’était le temps des fleursOn ignorait la peurLes lendemains avaient un goût de mielTon bras prenait mon brasTa voix suivait ma voixOn était jeune et l’on croyait au ciel
La-la-la …
 
Et ce soir, je suis devant la porteDe la taverne où tu ne viendras plusEt la chanson que la nuit m’apporteMon cœur déjà ne la connaît plus
 
C’était le temps des fleursOn ignorait la peurLes lendemains avaient un goût de mielTon bras prenait mon brasTa voix suivait ma voixOn était jeune et l’on croyait au ciel
La-la-la …

Comme un fou va jeter à la merDes bouteilles vides et puis espèreQu’on pourra lire à traversS.O.S. Écrit avec de l’airPour te dire que je me sens seulJe dessine à l’encre videUn désert

Et je coursJe me raccroche à la vieJe me saoule avec le bruitDes corps qui m’entourentComme des lianes nouées de tressesSans comprendre la détresseDes mots que j’envoie

Difficile d’appeler au secoursQuand tant de drames nous oppressentEt les larmes nouées de stressÉtouffent un peu plus les cris d’amourDe ceux qui sont dans la faiblesseEt dans un dernier espoirDisparaissent

Et je coursJe me raccroche à la vieJe me saoule avec le bruitDes corps qui m’entourentComme des lianes nouées de tressesSans comprendre la détresseDes mots que j’envoie

Tous les cris les S.O.S.Partent dans les airsDans l’eau laissent une traceDont les écumes font la beautéPris dans leur vaisseau de verreLes messages luttentMais les vagues les ramènentEn pierres d’étoile sur les rochers

Et j’ai ramassé les bouts de verreJ’ai recollé tous les morceauxTout était clair comme de l’eauContre le passé y a rien à faireIl faudrait changer les hérosDans un monde où le plus beauReste à faire

Et je coursJe me raccroche à la vieJe me saoule avec le bruitDes corps qui m’entourentComme des lianes nouées de tressesSans comprendre la détresseDes mots que j’envoie

Tous les cris les S.O.S.Partent dans les airsDans l’eau laissent une traceDont les écumes font la beautéPris dans leur vaisseau de verreLes messages luttentMais les vagues les ramènentEn pierres d’étoile sur les rochers …

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien

Puisque l’avenir vous appartient
Puisqu’on ne contrôle pas votre destin
Que votre envol est pour demain
Comme tout ce qu’on a à vous offrir
Ne saurait toujours vous suffire
Dans cette liberté à venir
Puisqu’on ne sera pas toujours là                                            Comme on le fut aux premiers pas

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien

Toute une vie s’offre devant vous
Tant de rêves à vivre jusqu’au bout
Sûrement tant de joies au rendez-vous
Libres de faire vos propres choix
De choisir quelle sera votre voie
Et où celle-ci vous emmènera
J’espère juste que vous prendrez l’temps                                        De profiter de chaque instant

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien

Je ne sais pas quel monde on vous laissera
On fait de notre mieux, seulement pars fois
J’ose espérer que cela suffira
Pas à sauver votre insouciance
Mais à apaiser notre conscience
Pour le reste j’me dois de vous faire confiance

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu’un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers de calmes jardins
On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd’hui, comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre
Qu’il brille d’amour au quotidien